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Toupie - Page 47

  • Une colonne de rangement pour y mettre les trésors des chouquettes

     

     

    Pour la chambre des chouquettes, j’étais àla recherche dun meuble pratique, avec plusieurs bacs pour y ranger toutes leurs bricoles : les petits indiens et cowboys, les petites voitures, les animaux en plastique,

     

    Jai certes les vieux bacs à becs jaunes, dénichés sur un site vintage, mais ces derniers débordent déjà de jouets et javais sérieusement besoin de renfort !

      

    Je cherchais avant tout un meuble haut, pour ne pas prendre trop de place, avec plusieurs compartiments pour les aider à trier leurs jouets (comme ils le faisaient à la crèche)

      

    Et jai finalement trouvé mon bonheur chez Maisons du Monde en mettant la main sur une colonne de rangement BASKET.

     

    Elle est parfaite et le haricot magique se lest déjà approprié, en décidant dy loger ses playmobiles & co.

     

     

     

     

    colonne  rangement basket,maisons du monde

     

     

    colonne  rangement basket,maisons du monde

     

     

    colonne  rangement basket,maisons du monde

     

    colonne  rangement basket,maisons du monde

     

     

     D'ailleurs, à peine reçue et à peine installée (d'où l'étiquette encore présente :)

     

     

    colonne  rangement basket,maisons du monde

     

    colonne  rangement basket,maisons du monde

  • Mon bébé, ce grand garçon ...

     

    "Oh toi tu sais, tu es mon petit bébé d'amour.

    - Bah non Maman !

    - Ah bon ? Tu n'es pas mon bébé d'amour ??! 

    - Non, je suis ton grand garçon d'amour"

     

    Sa réponse, du tac au tac, m'a toutefois laissée pantoise.

    En effet, j'ai toujours l'impression que la briochette est née hier. Je revois alors son petit air joufflu et ses cuissots bien potelés. Je repense à sa façon de se caler au creux de mes bras pour prendre sa dose de câlins. Et je me me rappelle de cette façon bien à lui de planter son regard dans le mien. 

    Mais je dois bien admettre que mon bébé cadum s'est transformé en petit blondinet, malicieux, qui adore explorer son monde et faire les 400 coups.

     

     

    Ma briochette - qui détient son surnom des deux brioches qu'il avait en guise de joues à la naissance - a maintenant la langue bien pendue et peut passer des heures à me raconter des tas de choses, parfois insolites et parfois plus profondes. Il se pose des tas de questions, s'amuse d'un rien et adore arborer son petit air narquois pour mieux nous faire tourner en bourrique.

     

    Mon bébé a indéniablement grandi.

     

    J'avais pourtant plusieurs indices sous les yeux pour mieux appréhender ce pic de croissance impromptu :

    - il n'y a plus de paquet de couches à la maison depuis bien longtemps déjà et la cuvette des toilettes est constamment levée 

    - je ne fréquente plus les rayons "bébé" de Monoprix (ah désespoir) et ne compte plus les tailles en mois mais bien en âge révolu.

    - je ne prends plus le chemin de la crèche (ce petit cocoon si agréable) et à la place des comptes-rendus journaliers ultra détaillés, je suis passée à cette grande nébuleuse "Qu'est-ce que tu as fait mon chéri aujourd'hui ? - Euh ... je sais pas, j'ai oublié" (ahem)

    - ... 

     

    Alors oui, mon bébé a bien grandi ...

     

    Toutefois, il a toujours cette façon de se frotter le nez avec son doudou quand la fatigue commence à le saisir, cette odeur de brioche au sucre glacé dans le creux de son cou, cette manie de hausser les sourcils tout en esquissant un large sourire et cette habitude de fermer un oeil quand le soleil pointe son nez.

    Mais surtout il a gardé cette façon de m'attraper le visage pour y planter son fameux "biyousse", avec cette vigueur qui m'empoigne le coeur.

     

    Mon bébé, mon grand garçon.

     

     

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  • Debout, ensemble

     

    Avant de reprendre ma plume numérique pour vous conter des choses futiles et distrayantes, visant à rendre notre quotidien plus doux, j'avais juste envie de commencer cette semaine en vous parlant de la marche républicaine de la veille.

     

    Comme beaucoup d'entre vous, j'ai été profondément émue devant une telle marée humaine, brandissant des messages de solidarité, des messages de fraternité, des messages de liberté.

     

    Cette journée historique, forte en symbole, réunissant une foule bigarrée et dépassant les frontières, nous a permis de nous lever ensemble, de scander des messages d'égalité, de liberté. Des valeurs inaliénables, pour lesquelles nous devons toujours être les garants, les défenseurs.

     

    J'espère que ce réveil n'est pas un simple sursaut et que nous continuerons à être Charlie car il nous reste de nombreux défis à relever, main dans la main. 

     

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    Illustrations IRIS DE MOUY, de son ouvrage En route pour la Tour Eiffel

     

  • Parce qu'on est libre, parce qu'on est solidaire

     

    D'habitude, je viens ici pour vous parler de choses futiles et récréatives, pour badiner avec la mode ou encore pour partager avec vous un meli-mélo de bons plans.

     

    Cette bulle récréative, cette parenthèse enchantée, j'y tiens. Elle me permet de saupoudrer mon quotidien de douceur.

     

    Or, aujourd'hui, je n'arrive pas à me réfugier dans cette bulle.

    Aujourd'hui, je suis triste et complètement hébétée.

    Accablée de voir ces évènements tragiques se dérouler, triste de voir que des personnes se sont attaquées à des principes fondamentaux, à des valeurs inaliénables, à des libertés que l'on croyait inattaquables.

     

    J'ai encore du mal à réaliser que l'humour peut tuer, que les dessins peuvent vous condamner, notamment dans le pays des lumières où l'on brandit la liberté d'expression en étendard.

    Face à ces actes abjectes, inacceptables, j'ai une pensée pour ces hommes qui se battent pour exprimer leurs idées, à ces hommes courageux qui choisissent comme arme leur stylo pour répliquer aux balles des lâches, à ces hommes d'exception qui deviennent immortels, à ces combattant des libertés. 

     

    Aujourd'hui, la meilleure façon de leur rendre hommage est de nous rassembler pour faire front, pour préserver nos libertés. Le pire serait donc de céder aux sirènes des amalgames et des stigmatisations, en se trompant de combat.

    Nous sommes tous Charlie, ne l'oublions pas.

     

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    Stéphanie Blake