Les sushis et moi, c'est une grande histoire d'❤
Et comme je travaille à deux pas de la rue Sainte-Anne à Paris, réputée pour tous ses japonais, je suis plutôt bien servie. Et même si j'engloutis des kilos de sushis le midi, je suis souvent tentée d'en commander le soir, pour un plateau-télé en amoureux.
Alors, quand on m'a proposé de tester Côté Sushi (encore inconnu au bataillon pour moi), j'étais sur un petit nuage. J'ai donc parcouru leur site et je me suis assurée qu'ils proposaient bien la livraison de sushis sur Paris et ses alentours.
Après, avec le brun, on a fait notre choix sur leur site : soupes et salades, "côté salmon" pour lui et "côté Tandem" pour moi (à noter que le midi, il y a aussi des formules "pause déjeuner" assez intéressantes)
1ère bonne suprise : la commande
Rapide, facile et agréable.
La personne qui a validé notre commande n'était pas ultra-speed et a pris le temps nous apporter quelques précisions.
En plus, il ne s'agit pas d'un 08 mais d'un 01 et la livraison est gratuite.
2ème bonne surprise : les "extras" (sauce soja, wasabi, ...)
Certes c'est offert mais parfois, on se retrouve avec juste une toute petite sauce. Autant s'en servir avec parcimonie.
Or, là, dans notre sac, il y avait une floppée de sauces, de sachets de gingembre & co. Pas besoin de rationner !
Pour la suite, on s'est régalé.
Les soupes sont vraiment gourmandes (pas comme la dernière que j'avais prise ailleurs et où on ne sentait presque rien d'autre que le goût de l'eau chaude salée) et les salades sont bien craquantes (juste un chouille trop sucrée à mon goût)
Vous remarquerez que le haricot a tenu à participer au test !
Et cette salade saumon à la moutarde : un délice !
Concernant les sushis, sashimis et makis, c'était bien copieux. Ils sont généreux sur les tranches de saumons et de thon et les makis ne sont pas secs mais bien fondants.
Enfin, pour les brochettes, là encore, un sans faute. Mention spéciale aux boulettes de viande qui sont légèrement parfumées.
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Avis aux sushivores voulant tester de nouvelles enseignes : celle-ci vaut le détour et joue déjà dans la cour des grands