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Le soleil chaud qui laisse sur la peau une odeur de sel de mer, le sable qui se faufile entre les orteils, les glaces dégustées à l'ombre du tilleul, les siestes dans le hamac, le chant des criquets qui nous berce, ... tout cela semble déjà bien loin.
Le soleil semble prendre ses quartiers d'hiver.
Bientôt : le cocooning devant un film, les siestes bien au chaud sous une couette moelleuse, un chocolat chaud fumant, les feuilles jaunes qui tapissent les rues, les écharpes qui fleurissent, les bains aux odeurs vanillées, ...
Même si l'arrivée de l'automne et de l'hiver (avec ses chants de noël) m'enchantent toujours dans un premier temps, l'air frais et la grisaille parisienne finissent toujours par entamer mon moral. Alors vivement l'été prochain !
Avec le haricot, je n'ai pas vraiment eu l'occasion de découvrir les nouvelles collections en boutique, d'humer le tissu, de laisser glisser ma main dans les cachemires ou encore de me faufiler dans les cabines d'essayage.
Du coup, je me suis rattrapée sur le sacro-saint Internet et là, j'avoue que j'étais très surprise par les "nouveaux prix" de certaines marques. Comme vous vous en doutez, derrière ces "marques", j'entends surtout SANDRO et MAJE.
J'ai été impressionnée de voir qu'à moins de 100€, on ne peut quasiment plus rien s'offrir chez Sandro (ou Maje et certaines marques du genre). En effet, la moindre écharpe vous coûtera la modique somme de 90€, la ceinture 95€ et le petit débardeur sérigraphié à 95€
Echarpe SANDRO 90€
Ceinture SANDRO 95€
Débardeur SANDRO 95€
Bref, comme je l'ai indiqué dans mon titre, il s'agit certes d'un pavé dans la mare modesque car malgré la crise, leur stock continue à s'écouler.
Et attention, je ne jette surtout pas la pierre à ceux qui achètent chez eux, je fais moi même partie des aficionados de la première heure et comme tout le monde, j'ai une fâcheuse tendance à loucher sur la marinière SANDRO ou le tee-shirt noeud MAJE pour ne citer qu'eux, mais cela ne m'empêche pas de garder un oeil critique par rapport à leur volonté de faire toujours monter les prix, de saison en saison, sans revoir la qualité.
Je voulais juste passer ce petit coup de gueule parce qu'il s'agit de deux marques que j'aime beaucoup, mais dont la qualité laisse trop souvent à désirer tandis que leurs prix s'envolent. Alors comme disait Alain Bashung (dont je reste une fan dans l'absolu), "ma petite entreprise ne connaît pas la crise"
Sur ce, je vous laisse en bonne compagnie :
Autrement je voulais vous remercier d'être toujours de plus en plus nombreux à me rendre visite mais vous vous faites également de plus en plus dscrets ;) alors n'hésitez pas à me laisser des commentaires, cela me fait toujours plaisir
Pendant très longtemps, je suis restée fidèle aux effluves Chanel et me suis aspergée le cou de Coco Mademoiselle ... J'aimais l'empreinte olfactive que je laissais derrière moi et m'étais habituée à cette odeur.
J'ai même longtemps pensé que je l'avais adoptée pour toujours mais mes hormones en ont décidé autrement : Le dégoût vis-à-vis de certaines odeurs lors de la grossesse n'est pas qu'un mythe et assez rapidement, mon odeur fétiche ne m'a plus fait tourner la tête mais plutôt donné mal au coeur.
Du coup, je me suis retrouvée orpheline de parfum.
Et il y a peu de temps, EBuzzing m'a contacté et m'a proposé de tester un nouveau parfum, signé Issey Miyake. J'ai tout de suite accepté, d'autant que ma soeur m'a toujours vanté leurs fragrances, étant elle-même assez sensibles à leurs parfums. C'était donc l'occasion de tester !
Dès la réception du colis, je me suis jetée sur le parfum et dans un premier temps, j'ai été assez surprise par son aspect "nude", sans fioriture, tout en simplicité. Et déjà, le parfum avait marqué un point !En effet, je ne suis pas une collectionneuse de flacon et ne recherche pas l’excentricité au niveau de la forme de la bouteille. Du coup, l’aspect nude m’a plutôt séduite.
Et après, en lisant le dossier de presse du parfum (eh oui, je fais les choses bien !), je suis tombée sur cette phrase d’Issey Miyake, qui a de nouveau fait écho :
« Je crée toujours en partant de l’idée la plus simple, et pourtant essentielle »
J’aime assez l’idée que la simplicité puisse se suffire à elle-même et reste intemporelle et indémodable.
Pour en venir au fond du sujet, je n’ai pas été déçu en ouvrant le flacon, l’ivresse était bien là. Et j’ai été d’autant plus convaincue quand le brun, après avoir déposé son baiser dans le coup, m’a glissé un « c’est quoi cette odeur ? J’aime bien … » Comme vous vous en doutez, le brun reste l’arbitre, le « nez » et moi je reste pendue à ses lèvres. Alors si « le nez » consent, j’acquiesce et je me permets une parenthèse olfactive, le temps que mes hormones se remettent de leurs émotions et acceptent de revenir à leur premieramour.
Bref, « a scent by issey miyake » a une odeur de début d’été qui est assez agréable. Dans la revue de presse, ils nous en donnent les ingrédients : « Les notes fraîches de Jacinthe et de Galbanum donnent le ton vert floral et croquant de la fragrance, égayé par la vivacité bienveillante de la Verveine et le souffle du Jasmin”
Vous l’aurez compris, il s’agit d’une odeur naturelle et végétale donc si comme moi, vous fuyez les parfums aux odeurs prononcées, aux relents de patchoulis, et aux effluves plus coriaces que subtiles et que vous préférez les parfums légers et naturels, vous devriez craquer pour « a scent by issey miyake ».
Le mieux est que vous le découvriez, je vous laisse maître …
Et je tenais à vous signaler qu’il s’agit d’un article sponsorisé, dans le sens où on m’a envoyé ce parfum et proposé une petite rémunération pour donner mes impressions. Dans tous les cas, je reste toujours le plus honnête possible dans mon ressenti et n’accepte pas toujours ce type d’article, d’autant plus quand le produit testé ne m’intéresse pas. Et si le test se révèle peu ou pas concluant, libre à moi de ne pas en parler ou de donner un avis négatif. La rémunération n’est pas là pour faire une « pub » du produit mais davantage pour donner son avis. Je tenais à repréciser tout ça, ...
Je vous ai déjà parlé de Please Don't, de ses petites coupes extra, de ses belles matières, de son univers singulier, ... bref, de ses fringues qu'on aime autant regarder que porter.
Mon premier coup de coeur chez eux s'appelle Raoul et continue à me faire fondre le coeur.
Pour rappel le voici :
Mais n'étant pas monogame en matière de prêt à porter, mon coeur d'artichaut s'est épris de tous les petits copains de Raoul : robes vaporeuses, blouses enchanteresses, ...
Alors comment résister à l'envie de partager avec vous la découverte de la collection hiver ! Voici donc mes nouveaux coups de coeur de chez Please Don't :
Il y a bien entendu plein d'autres merveilles à découvrir.
Alors pour les parisiennes, n'oubliez pas de faire un tour dans leur boutique 11 rue de Picardie, dans le 3ème (métro Temple) et pour les non parisiennes allez vous balader du côté de chez Mademoiselle Urbaine ou sur leur blog